Vous êtes en couple et vous en avez marre de payer un loyer? Vous décidez d’acheter votre premier bien immobilier à 2, alors voici quelques règles à suivre.
Votre situation matrimoniale au moment de l’achat
En fonction de votre situation – en couple mais non marié, non pacsé, marié sous le régime de la séparation de biens, ayant un apport tandis que votre partenaire n’en a pas, … –, il est important de choisir les quotes-parts d’acquisition les plus justes.
Les notaires conseillent le plus souvent d’être pacsés ou mariés pour acheter un bien immobilier à deux pour des questions d’héritage notamment. Pas étonnant donc que les Français considèrent l’achat immobilier, qui les engage sur 15 ans, 20 ans voire 30 ans, plus engageant que le mariage !
Vérifiez la faisabilité financière de votre projet immobilier
Avant de prospecter et de vous lancer dans des visites d’appartements ou de maison, faites d’abord un petit tour par votre banque pour savoir de quel enveloppe vous disposez pour votre achat immobilier. Ca vous évitera d’avoir le coup de cÅ“ur sur des biens que vous ne pouvez pas acheter.
Visitez le bien à différents moments
Lorsque vous avez enfin trouvé votre bien, n’hésitez pas à revenir le visiter à plusieurs moments de la journée. Observez l’environnement, jugez par exemple s’il est plus bruyant que lors de votre dernière visite.
Trouvez le bon crédit immobilier
N’oubliez pas que vous n’êtes pas marié avec votre banque ! Vous pouvez prospecter d’autres établissements financiers afin d’obtenir les meilleures conditions pour votre crédit.
Vous avez également la solution de faire appel à un courtier en immobilier. Une fois votre compromis signé. Le courtier est un intermédiaire entre vous et la banque et vous accompagne dans vos démarches. C’est un véritable gain de temps et d’argent !
Pensez à l’assurance de votre crédit
Élément indispensable à l’obtention d’un crédit immobilier, l’assurance est souvent occultée par l’emprunteur au profit du taux d’intérêts de l’offre de prêt. Les candidats à l’emprunt se focalisent sur le taux nominal, et oublient que cette garantie incontournable pèse jusqu’à un tiers du coût global du financement.
Au-delà de faciliter l’accès à la propriété, le niveau historiquement bas des taux d’intérêts aurait aussi le mérite de rendre l’assurance du crédit beaucoup plus visible.